Analyses

Analyse pour les langues germaniques

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Pour la famille des langues germaniques, dans laquelle on retrouve l'anglais, l'allemand et le néerlandais, mes conclusions seront quelque peu différentes que celles faites pour la famille des langues romanes.

L'allemand et le néerlandais, sont, comme le portugais et l'espagnol, très proches. Mais autant l'italien restait proche de ses langues-soeurs, autant l'anglais présente plus de différences, et bien qu'évidemment les transparences avec l'allemand et le néerlandais restent nombreuses, les transparences avec les langues romanes sont presque aussi nombreuses.

Ici ma connaissance de l'allemand m'a été très utile pour reconnaître les transparences avec le néerlandais, et aussi pour trouver les formes "romanisées" (mais néanmoins correctes et utilisées) de certains termes.

Le français, une fois encore, a été une bonne langue relais vers la compréhension des langues germaniques. Je pense que c'est toujours grâce au fait que c'est ma langue maternelle, et au vocabulaire que j'ai de ce fait. L'anglais, également, trouve sa place en tant que langue-relais.

J'en conclus donc que, contrairement aux langues romanes, les langues germaniques restent moins accessibles, car sans mon niveau en allemand, nombreux sont les mots qui me seraient restés opaques. Mais les langues germaniques sont plus transparentes qu'on ne pourrait le croire d'un premier abord, en particulier quand on sait reconnaître les radicaux (qui eux, sont plus transparents), et surtout quand on sait puiser dans le vocabulaire des langues connues et maîtrisées (ici le français et l'anglais).

Mise à jour le Mardi, 10 Mai 2011 21:28

Analyse pour les langues romanes

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Pour la famille des langues romanes, on remarque très rapidement que le portugais et l'espagnol sont deux langues très proches, plus proches entre elles qu'elles ne le sont avec l'italien. L'italien reste tout de même très proche, même si des différences lexicales nous rappelle parfois que cette langue est restée plus proche du latin que ses soeurs. Le français est très transparent vers ces trois langues également, et la richesse de vocabulaire qui découle de ma connaissance de ma langue maternelle m'a permis d'accéder très facilement aux informations pertinentes dans les textes en langues romanes.

De tous les mots lexicaux relevés, j'ai remarqué que les noms restent les plus transparents, face aux adjectifs et aux verbes. Par exemple, la terminaison en "-ciòn" (espagnol) trouve sa correspondance dans le "zione" (italien) et "-ção" (portugais), ou "-tion" (français, mais anglais aussi d'ailleurs).

L'anglais, bien que n'appartenant pas à la famille des romanes, mérite sa place dans cette analyse les concernant, car j'ai pu remarquer cette langue-cousine était très "romanisée" et, comme on l'observe pour le français, l'anglais s'avère être une très bonne "langue relais" avec les langues romanes. Cette proximité entre l'anglais et la famille des langues romanes est très importante, l'anglais étant une des langues les plus pratiquées au monde, elle peut ainsi ouvrir l'intercompréhension à un cercle encore plus grand.

Mise à jour le Mardi, 10 Mai 2011 21:29